![]() Inhaltsangabe: Ein kleiner, 11-jähriger Junge hat einen besonderen, besten Freund: Einen richtigen Roboter. Doch leider ist dieser nicht mehr der Jüngste und daher geht er auf die Suche nach Ersatzteilen für seinen Weggefährten. Dabei gerät er in ein ungl. Inhaltsangabe: Ein kleiner, 11-jähriger Junge hat einen besonderen, besten Freund: Einen richtigen Roboter. Doch leider ist dieser nicht mehr der Jüngste und daher. Tim of Nazi Germany and had been absolved from its active involvement in Nazi ag- gression and the. Sich kaum mehr westalli- ierte, sondern primär sowjetische Einheiten auf seinem Territorium befanden –, bot sich als. L'incroyable réconciliation franco-allemande, l'avènement d'une Allemagne démocratique, la fin. F 7682 Botton, Alain de. Trost der Philosophie. F 7676 Parks, Tim. Ehebruch und andere Zerstreuungen. München: Kunstmann 1999. F 7677 Pieper, Annemarie. Die Kunst, gut zu leben. Hamburg: Hoffmann &. Honni soit qui mal y pense. L'incroyable histoire d'amour entre le français. Sep 2017 - Miete Villen in Phalasarna, Griechenland ab 17€/Nacht. Finde einzigartige Unterkünfte bei lokalen Gastgebern in 191 Ländern. Fühl dich mit Airbnb weltweit zuhause. > Meg Stuart, Lion d’or à Venise, dans de nouveaux territoires La Libre, Guy Duplat, 19.01.18 La chorégraphe américaine, travaillant en Belgique depuis 1994, Meg Stuart, vient de recevoir le Lion d’or de la Biennale danse de Venise pour sa carrière. Un prix déjà attribué aux plus grands: Cunningham, Pina Bausch, Forsythe, Anne Teresa De Keersmaeker. Jeudi soir, elle présentait justement, au Kaaitheater à Bruxelles, son nouveau spectacle 'Celestial Sorrow'. Celui-ci démontrait la justesse de ce prix qui selon le jury, rend hommage à une chorégraphe qui réinvente à chaque fois, une nouvelle langue et une nouvelle méthode. Sa dernière pièce est un projet d’Europalia Indonésie. ![]() Elle avait été mise en contact avec l’artiste indonésien Jompet Kuswidananto dont on a vu une installation au Grand-Hornu. Ensemble, ils ont travaillé à Yogyakarta autour d’un thème commun: comment le passé et ses fantômes peuvent s’inscrire dans les corps, musiques et lumières. Pour l’Indonésien, c’est le souvenir toujours douloureux de la longue dictature Suharto renversée par les étudiants en 1998, et même le souvenir du massacre de millions de communistes en 1965-66. Le résultat est envoûtant, très impressionnant. Les spectateurs sont assis le long des murs. Du plafond, pendent plus de 1000 ampoules formant un ciel étoilé devenant parfois une lumière très crue. Une musique obsédante et planante est interprétée life par la DJ japonaise Mieko Suzuki. Trois danseurs, chanteurs, performeurs, créent des atmosphères fortes, parfois bizarres. D’abord une longue méditation chamanisme avec cris, bruits divers, couverture d’or, suivie d’une transe folle, rave, Sacre du printemps sous ecstasy. Ensuite, viennent le chagrin, la douceur des images de nos jeunesses, de mystérieuses figures indonésiennes, et le kitsch en lumières d’une chanson acidulée de Java. Les sons où on retrouve plein de bruits et de respirations, les costumes de Jean-Paul Lespagnard (y compris un manteau en lampes de Noël), les lumières, sont particulièrement soignés. ![]() Ce qu’on voit est inspiré par la situation en Indonésie. On y aime les jeux de lumières qui ruissellent sur les camions, les bruits qui se bousculent. Ce sont des manières de s’assurer qu’on est bien sorti de l’obscurité Suharto. It Abkürzung![]() Mühlhausen I TEt le chagrin (Sorrow) des chansons tristes renvoie à l’interdiction de celles-ci sous la dictature. S’il y a des passages plus obscurs et expérimentaux, on est souvent emporté, d’abord par le talent extraordinaire des performeuses et 'vocal-acrobat' venues de Berlin (Jule Flierl et Claire Vivianne Sobottke). Meg Stuart démontre à nouveau son talent à prendre de risques et explorer de nouveaux territoires. > Trip à la sauce indonésienne Le Vif, Estelle Spoto, 24.01.18 Dans le cadre d'Europalia Indonesia, la chorégraphe Meg Stuart -à qui vient d'être décerné le Lion d'Or de la prochaine Biennale de Venise pour l'ensemble de sa carrière- offre un trip vers le primordial. Pas de danses traditionnelles ici, mais une performance qui saisit les sens et emmène loin. Avec Celestial Sorrow, la chorégraphe américaine basée à Bruxelles et Berlin Meg Stuart ouvre les portes d'un monde régi par des forces autres que celles de la raison. On y entre, ou on n'y entre pas, mais plusieurs éléments aident à en franchir le seuil. Il y a tout d'abord la lumière, à travers l'installation de l'artiste indonésien Jompet Kuswidananto qui, dans le cadre d'Europalia, vient tout juste de clôturer une exposition au MAC's. Plus d'un millier d'ampoules combinées à des lustres forment une voûte céleste artificielle qui impressionne d'emblée. Combinée au light design de Jan Maertens, cette constellation offre mille variations, d'une clarté aveuglante à l'obscurité totale. Ensuite il y a le son, prégnant, dispensé depuis deux des coins de l'espace par le guitariste indonésien Ikbal Simamora Lubys (autre rencontre sous la bannière d'Europalia) et la DJ et artiste sonore japonaise Mieko Suzuki. La musique enveloppe dès le départ artistes et spectateurs à la manière de vagues de basse lancinantes pour se faire ailleurs advantage percussive et stimuler la danse voire la transe. Les costumes aussi, signés par l'intrépide créateur bruxellois Jean-Paul Lespagnard, qui ne recule devant aucun mélange de styles et aucun imprimé, aident à pénétrer dans une autre dimension. Comme dans cette séquence finale où Gaëtan Rusquet évolue perché sur des chaussures aux semelles triangulaires -pointe vers le bas, base vers le haut, sinon ce serait trop facile.
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March 2019
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